Saint Valentin oblige ...

Faire des cochonneries énoooooooooooooormes que la morale réprouve totalement n'est pas seulement nécessaire pour voir se dessiner sur mon visage un sourire post-orgasmique de nature à combattre toute morosité ou tout problème plus ou moins insurmontable ... c'est surtout que c'est bon pour ton corps. Nous sommes dimanche, jour du seigneur et je m'en vais donc t'évangéliser après avoir lu l'intéressantissime article de Veryfriendly à ce sujet [auquel je te renvoie, forcément].

Donc ... faire des horreurs de ton corps est aussi une bénédiction.

Tu savais ça fait maigrir en brulant un petit peu de calories [300 KCal pour 30 minutes de chevauchées frénétiques]. Diverses études auraient aussi démontré qu'une pratique régulière augmente la durée de vie et rendrait plus intelligent.
Mais sinon ...

- Le sexe rend beau [rien à voir avec Sylvester Stallone]. Il paraitrait que lorsqu'une femme fait l'amour, paf ...e xplosion de la fabrication du nombre d'œstrogènes, ce qui rend la peau douce et le cheveu soyeux.

- Evidemment, on maigrit aussi parce que la luxure coïtale provoque la combustion de sucres et de graisses stockées dans les trop importants tissus adipeux qui jonchent ton coprs de rêve. De plus, l’excitation générée par l’acte sexuel met en ébullition les récepteurs à la noradrénaline [enchanté !], qui ont alors la bonne et saine idée de mobiliser tout plein de graisses. Ingrid Fleischer, professeur de l’université de Hambourg [cholie Badame], a demontré qu'avaler du sperme [ce qui n'est pas safe du tout du tout quand on ne connait pas son partenaire] ferait maigrir deux fois plus vite du fait de la présence d'alcaline [comme les piles] agissant alors comme un agent antigraisse.
Le sexe, comme la course à pied, est un sport qui prévient aussi l'accumulation des graisses dans l'organisme et aide à éliminer les toxines. 

- Les rois de la branlette vont se rassurer ... Ejaculer au moins cinq fois par semaine diminue le risque de cancer d'un tiers par rapport à ceux qui n'éjaculeraient au mieux que sept fois par mois. Les «petites secousses» liées à l'orgasme onaniste drainent la prostate des carcinogènes qui s'y accumulent et qui favoriseraient la survenance d'un cancer. De plus, faire souvent l'amour soigne l'écoulement nasal. Le sexe est en médicament naturel contre l'asthme et la fièvre des foins. Puisque la sueur produite nettoie les pores et rend la peau luisante, faire l'amour doucement et tendrement réduit les problèmes de l'épiderme, les démangeaisons et toutes les affreusetés possibles en la matière.

- On a déjà beaucoup parlé des endorphines qui luttent contre les dépressions. Qui dit sexe [normalement et à supposer que tu ne t'envoies pas un thon ou une barrique], dit sensation d'euphorie. Et quoi de mieux que cela pour éradiquer tout spleen ? Hein ?? Toujours mieux que du Xanax ...

- Sociologiquement, il aurait été démontré que les personnes sexuellement actives et saines sécrètent une plus grande quantité de phéromones, tu sais ce truc qui fait tourner les têtes et les caleçons. En plus, les personnes sexuellement actives [actifs comme passifs ...] souffrent moins fréquemment de diabète, d'hypertension et de maladies cardio-vasculaires.

- Rouler une pelle everyday a pour effet de permettre de voir moins souvent son dentiste [sauf s'il est mignon et que ... bref]. En effet, la salive nettoie et fait chuter le niveau acide de ta boubouche ce qui empêche les caries et prévient contre la plaque dentaire. Comme un bonheur n'arrive jamais seul, avoir des rapports sexuels réguliers nous rendrait également intelligents, selon Werner Habermehl, de l'Institut de recherche médicale de Hambourg [décidément très intéressés par la chose nos amis teutons], car ils font bondir les taux de production d'adrénaline et de cortisol, deux stimulants essentiels de la matière grise.

- Au rang des équivalents, un rapport sexuel serait aussi efficace que deux aspirines si tu as mal au crane [donc ... le coup du "j'ai mal au crane" est définitivement une mauvaise excuse].

Une étude britannique publiée en 1997 a démontré, chez des hommes de 45 à 59 ans, que ceux ayant au moins deux relations sexuelles par semaine avaient un taux de mortalité deux fois plus bas que ceux qui ne faisaient l’amour qu’une fois par mois. Tout est dit par le Dr David Weeks qui considère que «Faire l'amour au moins trois fois par semaine prolonge l'espérance de vie de dix ans en moyenne».

Tto, qui n'y voit donc que des avantages