Le beau temps aidant, la fin du confinement agissant, je pensais que cela irait mieux ... naïvement.

De prose, pondre un tel billet je n'ose
D'autant qu'aucune énergie je n'ai à consacrer à une telle chose.

Après quelques jours de repos,
J'ai repris le rythme qui m'en met plein le dos
Puissance délirante et intense font de moi quelqu'un dont le regard n'est plus si beau

Les envies ne manquent pas, mais elles se conjuguent en extérieur,
En pulsions irrépressibles d'ailleurs,
Avec la conviction que là bas, tout sera meilleur
Pourvu que j'y parvienne avant que, de cette vie de chien, je ne meure.

Avec les promesses de juin,
J'avoue ne pas me sentir si bien,
Mais peut-être faudra-t-il que je cesse de dire "m'enfin"
A tous bouts de champ pourvu que je n'encourage pas les coquins
Je suis déjà prêt à l'affronter ce juin bien vilain.

Tto, poète poète