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une vie de tto
21 octobre 2017

Kiosque #376 @KingsmanMovie

Kiosque

Kingsman2

KINGSMAN, l’élite du renseignement britannique en costume trois pièces, fait face à une menace sans précédent après qu'on l'ait quitté à la fin de l'épisode dernier. Alors qu’une bombe s’abat et détruit leur quartier général, les agents font la découverte d’une puissante organisation alliée nommée Statesman, fondée il y a bien longtemps aux États-Unis.
Face à cet ultime danger, les deux services d’élite n’auront d’autre choix que de réunir leurs forces pour sauver le monde des griffes d’un impitoyable ennemi, qui ne reculera devant rien dans sa quête destructrice.

Kiosque vert

Le problème des suites, c'est qu'on en attend toujours trop parce que le premier était novateur. Et pour le coup, le virage est plutôt bien négocié même si l'on pourra déplorer quelques facilités, trop d'effets spéciaux et d'inévitables longueurs encore qu'elles ne se trouvent pas là où l'on aurait pu l'imaginer. 2h15 d'un festival d'effets de caméras, de clins d'yeux plus ou moins appuyés, davantage d'hémoglobine que dans le premier et une scène d'ouverture digne des James Bond qui met en condition directement, pas de doute Kingsman 2 réussit le passage et ouvre la voie à un troisième épisode sans que l'on puisse lever les yeux au ciel. Il faudra juste se passer de Julianne Moore parce que bon, elle joue mollement et froidement [mais ça, c'est comme d'habitude] et Channing Tatum est toujours aussi expressif [le fait qu'il gonfle à chaque fois qu'on le voit ne change rien à l'affaire]. C'est donc un bon divertissement et Colin Firth est toujours à l'aise dans ce popcorn movie.

Chiffre

C'est le chiffre de la semaine ! 89% ... mais de quoi ? Que font les français pendant la pub ...
89% vont dans une autre pièce.
85% changent de chaîne
67% baissent le son
31% éteignent le poste.

albé

Albé a appris la musique à Paris dans les conservatoires de quartier, puis dans les bars le soir en flirtant avec toutes les musiques. De rencontres musicales en rencontres amicales, il côtoie un prof de piano allemand passionné de rythmiques africaines puis, quelques années plus tard, il s’envole pour la Chine où il continue son apprentissage auprès d’un prof de guitare perché dans une grande tour de Shanghai. Après des études de Philosophie et d’Histoire à la Sorbonne, il vit six mois en Sibérie, six mois à Moscou, puis près de deux ans en Chine où il travaille dans la production de cinéma. Il ne cesse d’y écrire et travailler sa musique. Elle le rattrape pour de bon avec la création du groupe Singtank avec sa sœur, au sein duquel il compose deux albums sortis chez Warner Music, In Wonder (2012), produit par Nellee Hooper (Bjork, Massive Attack) et Ceremonies (2014) produit par Samy Osta (La Femme, Rover, Feu ! Chatterton), qu’il défend sur scène à travers le monde. Parallèlement, il compose à titre personnel pour le cinéma et la télévision. Ses compositions lui valent de présenter son travail au Festival de Clermont-Ferrand (sections « Courts en Musique ») et au Festival International du Film Francophone, à Stuttgart et Tübingen. Il travaille actuellement sur deux bandes originales de long-métrages.
Après "Face A" sorti avant l'été, Alexandre de La Baume publie aujourd'hui sous le nom d'Albé "Face B". Ces deux parties, un peu TOTIPOTENTES, sont réunies dans un premier album solo "Face A+B", attendu le 10 novembre sur le label Simple. En marge de Singtank, le duo qu’il a créé avec sa sœur Josephine, Alexandre de la Baume continue sa carrière de mélodiste sous le nom d’Albé et il dévoile aujourd'hui "100 Degrees" : c’est l’histoire d’un couple qui s’échaude et qui se réchauffe, dans un va-et-vient entre tension nerveuse et tension sexuelle à haute température où se rencontrent reproches, frustrations et désirs. 
C'est un amoureux des grands mélodistes et arrangeurs à la Burt Bacharach, et Alessi Brothers, avec un goût aussi prononcé pour l'immédiateté et la sincérité plus rock de la grande scène indé des années 90 (Pixies, Smashing Pumpkins).
Le projet a été ressassé et turbiné en solitaire sur son ordi portable en voyage, sur des pianos et des guitares enregistrées à l’iPhone puis peu à peu assemblé avec l’aide et les conseils de collaborateurs intimes, d’Emile Larroche à la réalisation à Samy Osta au mix et Iris Kaltenbäck à la plume de certains textes.

BOTTOM KIOSQUE

2017 - LOGO MOT DU PREMIERTOTIPOTENT : adjectif
Se dit des cellules embryonnaires non encore différenciées et dont chacune, isolée, est capable de se développer en un organisme entier.

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Commentaires
M
Bravo pour le défi relevé ! <br /> <br /> Je me tâtais pour aller voir Ce film, compte tenu que le seul ciné de Troyes ne daignait pas mettre à l'affiche ce que j.esperais voir..mais tu m'as un peu refroidi ! <br /> <br /> Donc merci pour ce salutaire commentaire! <br /> <br /> Et bon samedi!
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L
volapuk tiens donc
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