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une vie de tto
22 juillet 2016

Je parlais de toi aux nuages, aux oiseaux de passage, à mes poupées d'enfant

Vendredi pourri

Faudra s'y faire : le vendredi c'est tout pourri ! Forcément, pour toi qui est déjà en vacances ... le vendredi ou le dimanche, c'est tout pareil puisque tu sirotes les mêmes apéros et tu joues toujours autant aux boules [mais comment interprêter ce dernier membre ... de phrase] ... Oui mais, pour les autres, les laborieux qui triment pendant que les privilégiés ne branlent rien [ah bah faudrait savoir !!], cette journée est providentielle mais comme il ne sera que justice que de la pourrir un peu pour ceux qui se la coulent douce, le vendredi c'est pourri !

Et comment on pourrit le vendredi ? Je dois t'avouer que vendredi dernier, ils ont fait fort les affreux terroristes en m'empêchant finalement de lancer cette mode de l'été. Et c'était bien normal de surseoir, mais alors du coup, cette semaine tu ne vas pas y échapper et tu vois que ce sera forcément [et évidemment] moins pénible.

Vacances obligent, cette semaine la route du "Vendredi Pourri" va t'emmener dans une terre inconnue ... Ah la la, ne me dis pas que je suis chouan à faire des détours comme ça, c'est à toutes les filles que j'ai connues avant qu'on le doit ! Il faut laisser du temps au temps, et puis E vado via quoi ! Allez hop, on va quitter l'autoroute [et donc un peu la civilisation] pour aller aprenter la Vendée [oui au cas où cela ne t'aurait pas déjà traversé l'esprit et que tu n'aurais pas encore deviné sur quelles terres incertaines ce "Vendredi Pourri" nous allons] ...

C'est pas compliqué ... C'est presque du Ronsard ... de Vendée [ce qui explique tout en fait à moins que cela ne tienne qu'à Barbelivien lui-même] ...

didier-barbelivien-_-les-mari-as-de-vend-ae-didierbarbelivien

J'écrivais ton nom sur les pierres, sur les cheveux de lierre, des ruines abandonnées. Je t'attendais à la rivière dans le bleu des fougères auprès d'un champ de blé [wahoo, ça envoie du rêve, comme un pub pour les knackis Herta ça avec un petit garçon tout seul qui fait un moulin en allumettes brûlées ...]
J'écrivais ton nom solitaire sur les chemins de terre, sur les arbres écorchés. Je t'attendais dans mes prières, dans le feu des bruyères des soleils de janvier [le feu en janvier en Vendée ? Ah oui ? C'est quoi ? Une métaphore comme la canicule en Bretagne, comme la grammaire chez les animateurs de NRJ12, comme l'honnêteté intellectuelle chez les gauchistes de la CGT ?]

Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais [ah bah ça, si on n'a pas compris, c'est qu'Afflelou ne peut plus rien faire non plus avec ses prothèses auditives]

Et les églises se souviennent des tous premiers "je t'aime" des mariés de Vendée qui couraient à perdre haleine boire à l'eau des fontaines [c'est kromeugnon ... bon là, on a basculé dans un film touristique de base sur Les Essarts, son patrimoine, cette terre de constraste. Mais pourquoi on n'y a pas installé le plateau des "Racines et des Ailes" ???]
Leur tout premier baiser [Hummm ... euh c'est à dire ? Genre ça vient là comme ça, et ça veut dire quoi au juste ?? Pas de doute, on prend de la coke en Vendée en janvier parce que pour voir des bruyères en feu, y a plus que ça !]

Et les moulins se rappellent la blancheur des dentelles des mariés de Vendée qui couraient dans les ruelles, escaladaient les échelles pour s'aimer dans un grenier [ça devient olé olé tout ça je trouve ... et puis bon, quand on s'aime dans un grenier, tu ne me feras pas croire que les dentelles vont rester blanches très longtemps nan mais dites donc !!!]

Je parlais de toi aux nuages, aux oiseaux de passage, à mes poupées d'enfant. [euh qui fait ça en vrai ? Qui parle de son mec ou de sa copine à ses poupées d'enfant, aux oiseaux de passage ou même aux nuages ? Je demande : QUI ???]
Je t'attendais les nuits d'orage dans les genets sauvages au bord de l'océan [ah oui d'accord ... donc en Vendée, quand on espère l'orage (??!!!), on attend dans les genets au bord de l'océan ? C'est un trip spécial ? C'est cosmique ? C'est local ... comment ça se passe ?]

J'écrivais ton nom sur les plages, sur les murs des villages les nuits de la Saint-Jean [d'accord, donc on est en pleine dégradation de l'environnement quoi ! Ah mais ce n'est qu'au cours des nuits de la Saint-Jean ? Ah bah ça va ...]
Je t'attendais comme un rivage, quand un bateau naufrage au coeœur de l'ouragan [un rivage quand un bateau naufrage au coeur de l'ouragan ... hummm, c'est à dire ? On peut me faire un dessin ou un schéma, un croquis ou quelque chose qui donne un peu de corps à cette image absconse ?]

Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais [ah bah ... paf, on se les reprend dis donc ... je pense qu'il y a un message à faire passer]

Et les églises se souviennent des prénoms de baptême des mariés de Vendée qui couraient à perdre haleine boire à l'eau des fontaines [encore heureux que les églises se souviennent des prénoms de baptême, c'est en partie fait pour ça quand même non ? Et en plus, ils contionuent à courir à perdre haleine ... mais il vont vraiment finir par la perdre cette haleine !]
Leur tout premier baiser [voir plus haut]

Et les étangs se rappellent les serments éternels sous les grands peupliers. [les étangs se rappellent ... oui oui oui, 4 pillules roses pour le Monsieur là ...]
Garde ta main dans la mienne, nous serons quoi qu'il advienne des mariés de Vendée. [bah écoute, si en plus on ne peut plus rien y changer, c'est qu'on est comme qui dirait foutus là !!!]

Et tu sais quoi ? Mon plaisir absolu, c'est que tu vas te la traîner toute la journée cette chanson ...
Vivement le prochain Vendredi-Pourri !!

Tto, pourriture du vendredi

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Commentaires
J
Je sens que je vais aimer ces vendredis pourris...:D
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M
Une certaine Muriel R. aurait aimé ce texte :)
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E
Oh le post pourri de chez pourri... Ça me rappelle le curé qui m'a marié... Il interrompait le texte qu'on avait choisi pour placer ses commentaires... C'était horrible ou désopilant selon les personnes...
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I
Je ne connais toujours pas ce chef d'oeuvre <br /> <br /> Et évidemment je ne vais pas cliquer pour ne pas l'avoir dans le tête <br /> <br /> Non mais
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