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une vie de tto
23 janvier 2016

:cu(lt) #308 avec @Benjamin_Biolay @NeighborsMovie @petshopboys @FPCFPCtv

cu(lt) 2015 - musiqueIl y a des choses comme ça qu'on attend parce qu'on aimera ou pas, mais cela reste toujours créatif et structuré. Benjamin Biolay fait partie de ces artistes qui donnent ce type de rendez-vous. "Palermo Hollywood" est le nouveau Benjamin Biolay ...

cu(lt) 2015 - niouzes

FPCFPC

EXCLUSIF : C'est "Le fantôme de l'Opéra" qui investira le Théâtre Mogador à partir d'octobre 2016 >> Isabelle Huppert et Gérard Depardieu vont tourner leur quatrième film ensemble >> Andrew Haigh qui avait commis la série "Looking" réalisera le biopic sur Alexander McQueen >> New-York a déclaré que le 20 janvier serait un David Bowie Day >> Nouveau single de Renaud mardi 26 janvier 2016 >> Michaël Gregorio annoncé au Zénith de Paris en octobre 2016 >> Audiences radio sur novembre et décembre avec EUROPE1 qui grimpe, NRJ qui chute et RTL qui chute moins fort donc redevient première radio de France >> "Fais pas ci, fais pas ça" revient début février sur France2 : les 10, 17 et 24 février 2016 pour la saison 8 qui compte 6 épisodes >> "Un amour qui ne finit pas" sera au Théâtre Antoine à partir du 17 mai 2016 >> "Momo" reviendra à l'affiche du Théâtre de Paris à partir du 13 mai 2016.

cu(lt) 2015 - cinémaPetite perle qui s'annonce : "Nos pires voisins 2" donne clairement dans sa bande-annonce tous les signaux d'une comédie américaine qui décape juste ce qu'il faut, avec néanmoins du rythme et des petits moments bien sympathiques. Y a du torse nu, de la fille en bikini et du graveleux qui tache [non non, pas seulement Seth Roegn qui s'exhibe ...]

cu(lt) 2015 - musiqueGrosse actualité musique toujours avec le grand retour de la pop anglaise qui dégomme tout sur son passage avec un brin électro ... Oui oui oui, les Pet Shop Boys qui ont bercé les enfances des uns et des autres reviennent pour faire bouger les popotins !

cu(lt) 2015 - théâtre

L'envers du décor

La semaine dernière, :cu(lt) était à la première de "L'envers du décor" avec Valérie Bonneton et Daniel Auteuil principalement. Alors que faut-il en penser ? Faut-il se ruer sur les réservations ou tout de suite privilégier un autre spectacle pour une soirée réussie ? C'est le crible qui t'en apprendra davantage sur ce spectacle.

L'HISTOIRE : Quand Patrick annonce à ses amis qu’il voudrait leur présenter la jeune femme pour laquelle il a quitté Laurence, tout le monde s’accorde à dire que c’est une excellente idée ! Mais l’apparition d’Emma aura l’effet d’une véritable tempête dans la tête de Daniel et d’Isabelle. 11/20
LA DISTRIBUTION : Tout ne tient que sur les épaules de Bonneton et Auteuil. D'ailleurs, ils le savent, ils en font des caisses ... limite un peu trop. Pauline Lefèvre joue les plantes vertes et passe son temps à donner de la contenance à un personnage qui fait paser les miss-météo pour des agrégées en philosophie kantienne. 09/20
LA MISE EN SCENE : Au royaume du minimalisme, je voudrais un canapé, quelques chaises, un semblant d'appartement bourgeois parisien. Les rotations d'éléments de décor sont interminables et finissent par couper le rythme qui s'installe facilement au début mais pèse clairement à la fin. 07/20
L'ECRITURE : On est sur du Florian Zeller donc forcément, on s'attend à un truc étonnant à défaut d'être fondamentalement original. Ca tombe bien : on n'a ni l'un ni l'autre. Rien n'étonne, rien n'est même original puisque le sujet du couple bourgeois parisien qui s'éloigne à raison d'une routine trop pensante face à la nouveauté séduisante d'un élément nouveau qui met en lumière les facilités sentimentales auxquelles on s'est habitué, c'est d'un classique ! On sait donc où l'on va, on comprend très vite les postures de chacun et on se désespère de voir finir cette interminable déchirure. Les répliques sont inégales, quelques traits amusants voire drôles mais les éclats ne passent pas le porche du théâtre. 07/20
LE BILAN : Une fois que l'on a compris que Bonneton fait du Bonneton, Auteuil revient à ses premières amours de comédie, Lefèvre est un prétexte et que Gendron n'a pas besoin de forcer pour ce qu'on lui demande, on a tout sur scène. Les dialogues intérieurs exprimés par chacun des personnages comme une mise en suspens cassent un peu le rythme mais vivifient une intrigue qui est pire qu'une mayonnaise ratée tant on en perçoit le goût à l'avance. Un peu d'imagination aurait permis de faire tellement mieux que l'on sort soulagé d'en avoir fini [la dernière partie de la pièce est vraiment trop longue] même s'il est difficile de dire que l'on a passé un mauvais moment. C'est superficiel, petit bras et sans surprise mais pas franchement désagréable. 08/20

:cu(lt) revient samedi prochain

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