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une vie de tto
23 octobre 2010

:cu(lt) #40

cult_2010T'as vu ça si c'est pas de l'amour en barre [et quelle barre ...] tellement j'ai bien préparé mon absence au point de te dégainer des :cu(lt) toutes les semaines qui ne soient pas des rediffs ... C'est bien simple : je trouve ça admirable et limite, je pense que tu devrais faire un lobbying féroce pour que les JT me consacrent un reportage demain soir au titre de l'événement du mois. Comme ça, en plus, je vais pouvoir revenir en vedette ... américaine pour me la pêter grave ! Ah la la, c'est partout que tu verras un tel souci du lecteur ... D'ailleurs, faudrait p't-être que je la commence cette rubrique :cu(lt) du jour plutôt que me répandre ... Allez hop hop hop ... c'est parti [non pas "de jambes en l'air" ... c'est pas le sujet, encore que].

Théatre déjà ... Amanda Sthers signe son retour sur les planches avec sa pièce une nouvelle fois montée. Le Théatre des Mathurins propose jusqu'au 12 novembre 2010 "le vieux juif blonde". Si tu suis l'actualité théatrale, la pièce a déjà été jouée par Ménaie Thierry il y a près de quatre ans.
Un vieux juif enfermé dans la peau d'une jeune fille, une jeune fille prisonnière de l'esprit d'un vieil homme. Double rôles, double jeux, un monologue drôle et tragique à la fois. Sophie, 20 ans affirme être en réalité Joseph Rosenblath, rescapé des camps de concentration... Folie ? Complot ? Entre rire et larmes, c'est ce qui se noue sous les yeux des spectateurs pendant un peu plus d'une heure [1h15 en fait, c'est ça qui est dommage]. C'est Aurore Auteuil qui tient le rôle cette fois. Les crtiques sont assez élogieuses : « Une écriture unique, fulgurante, bouleversante traversée d'un humour sauvage » pour La Tribune, « Captivant, bouleversant, un spectacle rare » pour Pariscope, « Monologue déconcertant et éblouissant, à découvrir absolument » pour VSD.

Au rang du culte de chez :cu(lt), j'espère que tu n'es pas passé à côté de l'interview de deux grands cerveaux qui font passer les prix Nobel pour de prétencieux rigolos à l'esprit peu fulgurant [et je ne te parle de Jean-Claude Van Damme, carrément ringardisé]. L'interview en question est celle d'Afida Turner [tu sais ... la belle soeur de Tina Turner, celle qui avait tenté de se rendre célèbre en participant à Secret Story 2 et qui n'a jamais rien fait d'autre que ... rien, en prenant bien soin de faire parler d'elle et de prétendre sans rire qu'elle a beaucoup de talent alors qu'elle a tout de la psychotique à mettre d'urgence sous électrochocs et psychothropes béta bloquants] par JéremStar [celui sur qui, selon lui, le tout Paris (sauf moi) serait passé ... à désespérer que le métro ne s'en soit pas occupé aussi ...]. Autant te le dire, c'est le choc des cerveaux et on touche au paradigme d'une quintescence surréaliste telle que les meilleurs traités de philosophie quantique peuvent désormais servir à caler les meubles tellement ils sont devenus inutiles. Voici donc JéremStar qui avait tenté fin septembre de se faire goder par Cauet [c'est te dire où il en est le pauvre garçon] qui s'interesse à l'ex-Leslie nouvellement [auto]baptisée Afida Turner [c'est plus vendeur] ...

On va essayer de s'en remettre ... avec des trucs cochons mais culs ... turels ... C'est pas que [bah non, c'est en avril ... si tu n'as pas compris ce jeu de mots aussi tellurique, je t'expliquerai ...] je ne parle que de fesses mais là, on va parler d'un pape de l'érotisme masculin dont certains déplorent qu'il ne se concentre que sur un certain type de modèles. En ce moment et jusqu'au 2 janvier 2011, le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris offre la première rétrospective en France du photographe et réalisateur Larry Clark, né en 1943 à Tulsa aux Etats-Unis. 50 années de création à travers plus de 200 tirages d’origine, pour la plupart inédits constituent l'exposition. De ses clichés noir et blanc du début des années 1960 aux longs métrages qu’il réalise depuis 1995 tels que Kids (1995), Bully (2001) ou Ken Park (2002), Larry Clark traduit sans concession la perte de repères et les dérives de l’adolescence. Tu pourras te repaitre des images mythiques de Tulsa (1971) et Teenage lust (1983), des œuvres inédites de ces périodes, d'un film 16 mm sur la vie des toxicomanes de Tulsa, tourné en 1968 et récemment retrouvé, des skateboarders de New York au ghetto latino de Los Angeles ... Comme souvent avec Larry Clark, les clichés parlent du quotidien d’adolescents en quête d’eux-mêmes, expérimentant drogues, sexe et armes à feu.
La force de ses images, au-delà de leur dureté et de leur noire séduction, réside dans la quête d’une vérité nue, d’un réalisme sans fard. Attention : exposition interdite aux moins de 18 ans. Ouvert du mardi au dimanche jusqu'à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 22h ... 5€ en plein tarif. C'est au 11 avenue du Président Wilson 75116 Paris. Plus d'infos ? 01 53 67 40 00.

totoche_power_2010Exceptionnellement et puisque le :cu(lt) du jour était bien riche, une mini-totoche power avec juste un coup de rétroviseur sur une mini-série de quelques épisodes bien française. Voyons voir si ça te dit quelque chose ...

Pour faire rapide, "Le secret des Sélénites" est un long métrage d'animation qui est la suite des "Fabuleuses Aventures du Légendaire Baron de Munchausen". D'abord sorti au cinéma en 1984, ce film a été diffusé plusieurs fois sur Antenne 2 en 1985 puis en 1986. Lors de la première diffusion en 1985, il avait été découpé en 13 épisodes, afin de faciliter son passage dans Récré A2.

Une Piétà pour finir ? Et comment ...

Piet__40

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