On ne se doute jamais de ce qui va arriver ...
Un jeu, des regards …
Sans crier gare, des impressions se confirmant les unes les autres …
Des maladresses qui en disent plus sur la profondeur des choses …
Un soir,
Une envie d’échapper, un temps, à l’oppression d’une Saint Valentin définitivement anxiogène …
Un prétexte trouvé, malicieusement, en un massage de dos,
Et voila, c’est comme ça que tout cela a commencé.
Sans prévenir, sans faire de bruit,
Sans penser à demain,
Sans projets,
Sans pressions.
Il faut se méfier des envies d’un soir, celles dont on ne soupçonne pas qu’elles vont changer la vie.
Elles ne viennent jamais seules : elles arrivent toujours avec un cortège de bouleversements, heureusement.
Ces envies d’un soir, je les aime parce qu’elles ne m’ont jamais déçu.
Celle à laquelle je penserai ce soir a été tellurique.
Il faut se méfier des envies d’un soir. Sournoisement, elles effacent les plus inébranlables certitudes dans une étourdissante valse sentimentale.
Il faut se méfier des envies d’un soir. Mais comment résister à un tel calice ?
Moi, je n’ai jamais su … et je m’en félicite tous les jours, d’avoir, il y a onze années …
succombé.
Tto, épaté